Ainsi nous avons pu voir que, parmi d’autres plantes, le vétiver peut bel et bien remplacer (ou compléter) des systèmes beaucoup plus chers et/ou dotés d’inconvénients, complexes, fragiles, dans les domaines de dépollution des eaux, de lutte contre la désertification ainsi que contre l’érosion des sols et pour l’amélioration des sols.

Il peut aussi procurer facilement des revenus aux populations, aux femmes essentiellement, qui l’emploient en artisanat.

Il contribue aussi à maintenir la santé des populations qui l’emploie.

Toutes ces utilisations représentes une alternative locale à des technologies lourdes et souvent extérieures. Elles génèrent systématiquement des économies financières importantes et des gains écologiques.

Le vétiver bénéficie d’une connaissance ancienne et concrète, quoique peu répandue.

Espérons que les recherches constantes qui lui sont consacrées (notamment par les membres du Vétiver International Network ( www.vetiver.org ) lui permettront de se renforcer et se diversifier progressivement, et de croître en notoriété, pour ... s’enraciner dans les usages...

Ca reste son défi principal de «technologie verte».